Hans Ijzerman est professeur assistant en psychologie clinique au Vrije Universiteit d'Amsterdam. Il a soutenu une thèse de doctorat en psychologie sociale en 2010 à l'université d'Utrecht, sous la direction de Gün Semin et Dov COhen. Ses recherches portent sur la thermorégulation sociale, un concept selon lequel les relations sociales dépendent en partie des processus de régulation de la température corporelle. Ses travaux sur ce sujet ont été récompensés par un Rising Star Award de l'Association for Psychological Science. Hans Ijzerman s'attache également à partager l'actualité scientifique en psychologie auprès du plus grand nombre, par le biais du journal en open access In-Mind Magazine, qui a récemment reçu le SPSP Service Award. Alors qu'il était employé à Tilburg, il s'est (encore plus) intéressé à l'open science et à l'exigence de réplicabilité des résultats scientifiques, ce qui l'a poussé à changer ses habitudes de recherche et de travail en faveur de l'open data, du pré-dépôt et de la réplicabilité, et a fait de lui un ambassadeur du Center for Open Science.
Hans Ijzerman is an assistant professor in clinical psychology at Vrije Universiteit, Amsterdam. He received his PhD in social psychology in 2010 from Utrecht University, under the supervision of Gün Semin and Dov Cohen. His research is focused on the topic of social thermoregulation, which is the idea that social relationships are pleisiomorphically organized around processes of body temperature regulation. More colloquially stated, social thermoregulation pertains to how our modern relationships are rooted in our "penguin bodies". For this work, he received the rising star award from the Association for Psychological Science. He has also had a strong interest in communicating psychology to a broader audience by founding and dedicating himself to the open access In-Mind Magazine, which recently received SPSP's Service Award. When he was employed in Tilburg, he became (even more) interested in open science and replicability more generally, becoming involved in changing his research habits to include open data, pre-registration, and replication, and became an ambassador for the Center for Open Science.